Notre consoeur Elodie Maurot, membre journaliste de l’AJP fait le point sur la restauration de ces gigantesques tableaux présents dans Notre-Dame le soir de l’incendie.
Loin de l’effervescence du chantier de l’île de la Cité, dans un lieu tenu secret en grande banlieue parisienne, une autre renaissance se prépare : 22 tableaux de la cathédrale Notre-Dame de Paris sont entrés en restauration. Parmi eux, treize grands Mays, ces toiles gigantesques de 3,5 à 4,5 mètres de haut réalisées entre 1630 et 1707, qui constituent un véritable musée de la peinture française du Grand Siècle.
Dans cette zone industrielle, rien ne laisse présager que l’un des vastes hangars impersonnels héberge de tels trésors. Le bâtiment de parpaings et de tôle, qui servait à la veille de l’incendie de réserve à la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) d’Île-de-France, a été transformé en un temps record en atelier de restauration, offrant les conditions de température et d’hygrométrie nécessaires à l’accueil des précieux chefs-d’œuvre.
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