Les livres, qui gardent la mémoire des choses et des faits, ont été, de tout temps,
instruments de la connaissance, outils de gestion et, aussi, auxiliaires du pouvoir.
Alors peut-on juger un homme d’état et, a fortiori, un souverain, aux livres qu’il
a lus ou fréquentés ? Si oui, les lectures de François Ier dont a été célébré, l’an dernier, le cinquième centenaire du couronnement nous le confirment, il fut un grand roi.
Pleinement conscient de la puissance du verbe et de la force des mots, il conféra même à sa bibliothèque un véritable rôle politique.
Lire l’article de Francis Gouge ici :