Pourquoi ne pas refaire le voyage rituel du jeune Proust quand la famille prenait le train à Montparnasse, la derrière semaine avant Pâques ? Arrêt à Chartres et 30 minutes jusqu’à Illiers-Combray.
La maison de tante Léonie est près de la gare. Une maison (et son musée) restaurée, intacte pour y croiser le jeune Marcel, sa tante Léonie hypocondriaque ou son oncle féru d’orientalisme. Auriez-vous le temps d’aller jusqu’au pré Catelan et sa fameuse haie d’aubépines (en mai). Derrière la maison de tante Léonie, l’église Saint-Hilaire (Saint-Jacques) pour vous asseoir sur le banc réservé à la famille Proust-Amiot. Un arrêt évidemment à la pâtisserie pour les madeleines.
Oui, c’est le temps de retrouver quelques-unes des 4000 pages de celui qui à Illiers-Combray n’était alors que le petit Marcel !
Pour lire l’article de François Collombet, membre de l’AJP, cliquez ici