François Collombet, membre du Conseil d’administration de l’AJP, vous présente son article sur le musée Léon Trotski, lieu d’un des crimes les plus sournois du « petit père des peuples ».
Derrière ce musée au sud de Mexico, une histoire d’assassinat, un roman d’espionnage, des trahisons mais aussi des rencontres avec Diego Rivera, Frida Kahlo, André Breton. C’est surtout l’histoire d’un jeune garçon de 13 ans, Estéban Volkov dernier témoin oculaire du meurtre de son grand-père, Léon Trotski en août 1940. Il raconte la vie dans cette maison si particulière transformée en fortin avec son jardin exotique et ses cactus, passion qu’il partageait avec son grand-père. On lui doit ce musée si attachant dont il fut le créateur et le conservateur jusqu’à sa mort, il y a quelques mois, à 97 ans. Il repose dans le jardin calle Viena de Léon Trotski aux côtés du « vieux » révolutionnaire et de sa grand-mère « politique, Natalia Sedova. Passionnant !
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